Le harcèlement ne date pas d’aujourd’hui…
Enfin, elle balance !
Vingt siècles ! C’est tout le temps qu’aura attendu la petite Marie pour pouvoir balancer le gros porc qui l’a fécondée à son insu. Car Dieu le Père est un très gros cochon, tel qu’affublé de l’oiseau en tire-bouchon qui lui sert d’esprit.
Elle se souvient encore, et n’a de cesse de répéter par dizaines, les paroles de l’archange apothicaire qui est venu la surprendre en lui apportant les résultats du test de grossesse : « Je vous salue Marie, pleine de grâce. Jésus est le fruit de vos entrailles » … propos horribles à bien y réfléchir. Ceux mielleux et trompeurs d’un entremetteur qui propose cyniquement, et pour toute réparation, le mythe de l’Immaculée conception plutôt qu’une pilule du lendemain. On le voit bien : quand Dieu a fait une connerie, il laisse la place à d’autres, et se débine comme un penaud immature et sans scrupule.
Et il en va ainsi depuis le fond le plus sombre des méfaits célestes. Zeus était déjà un porcelet … quand il se déguisait en cygne pour approcher Léda, ou en homme pour se satisfaire d’une génisse nommée Io.
Car le « propre » des dieux est de considérer, comme d’évidence, que le corps des femmes est leur propriété, puisque l’outil de la transmission d’une religion patriarcale. Sur ce point, la lecture du Code pénal serait plus salutaire que celle de la Bible.
Et cette ignominie perdure par l’intermédiaire de clergés qui inculquent « en toute innocence » aux plus jeunes un schéma monstrueux : la soumission féminine est indispensable au priapisme divin. Le cas désespéré de Marie, bénie entre toutes les femmes, quel bel exemple !
Et par voie de conséquence, les enfants du catéchisme sont devenus les harceleurs et les victimes qu’on découvre aujourd’hui.
Dieu le Père ne mérite pas l’éternité ; seulement la perpétuité !
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3 Commentaires
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Bon! Io ne fut génisse que bien après la galipette divine, Zeus la fit ainsi pour qu’elle échappe à la furie d’Héra. Mais bon! ce n’est qu’un détail et pour le reste, il est réjouissant de voir traité avec humour l’une des galéjades pittoresques du christianisme, qui postule une régénérescence du pucelage, non seulement après la dite galipette, mais aussi après les couches? Quelle couche, en effet!
Et pourtant si vrai n’en déplaise à tous les faux-culs
En 1974, c’est-à-dire 7 ans avant l’abolition de la peine de mort, notre camarade Robert Dalian concluait son livre « Dieu contre Dieu » par cette sentence :: « L’embêtant, avec Lui (Dieu le père), c’est que, même capitale, Sa peine n’en finit pas. Il est le seul à pouvoir être condamné à la peine capitale à perpétuité ».